Cette section regroupe des histoires et des poèmes écrits par des auteurs aussi célèbres que Shakespeare ou Wordsworth, mais également des histoires de notre auteur attitré: Chris Rose.
Ce poème parle de l'enseignement de l'anglais et transmet de fortes émotions en observant de petits détails, presque banals: les chaussures dans les magasins, les robes colorées, le langage artificiel d'une leçon d'anglais.
Dans "Progress", Osbert Sitwell nous donne une image négative de la ville et évoque de tendres souvenirs de la campagne. Dans "The City", Charles Hanson Towne fait le contraire.
"Longue, longue la nuit, avec peine vient le matin" Dans ce poème (écrit comme une chanson), le grand poète écossais Robert Burns se lamente sur la maladie de sa bien aimée.
Ce poème d'Andrew Motion est inspiré d'une peinture de Thomas Jones exposée dans la National Gallery à Londres, dans laquelle Motion s'interroge sur la longévité de la création artistique.
"...Qui vogue dans les airs, par delà les vallée et collines..." Ce poème célèbre de William Wordsworth (1770-1850) fut inspiré par la fleur du printemps, la jonquille jaune ou dorée.
Dans cette fable - écrite par Ralph Waldo Emerson, essayiste, poète et chef de file du mouvement Transcendentaliste - un écureuil et une montagne se disputent.
"Oh, mère, pose ta main sur mon front! Oh, mère, où suis-je donc à présent?" Dans ce petit poème touchant de Robert Louis Stevenson, une mère passe la nuit au chevet de son enfant malade.
L'automne suscite souvent des sentiments de tristesse et de mélancolie. Mais, pour John Keats, nous devrions plutôt célébrer la fin de l'été pour la formidable fertilité de de la nature qui se dégrade petit à petit.
Thomas Hood a écrit ce poème au début du XIXème siècle, mais il paraît toujours très moderne. Hood s'intéresse à l'hiver dans un climat froid et urbain, avec un joli sens de l'humour.
"Abandonnez et abolissez le troupeau". Ce poème amusant évoque ce qui arriverait si nous arrêtions d'élever les moutons et le bétail et commencions plutôt à cultiver des haricots.
"Nous sommes en train de faire le chapitre VI: les passe-temps, j'aime faire..." Robert Seatter est professeur d'anglais, acteur et journaliste. Ce poème nous emmène au milieu d'une leçon d'anglais pour adultes.
Dans ce poème de Mike Ramsden, l'auteur prétend qu'il se trouve dans un grand hall avec une foule de gens debout qui applaudissent. Parfois, comprendre n'est pas qu'une question de linguistique...
"Hélas! Je suis extrêmement désolé de vous dire, que quatre-vingt-dix vies nous ont été enlevées". Le poème le plus célèbre de William Topaz McGonagall, qui est considéré comme un des plus mauvais poètes de la langue anglaise!
Ce poème absurde a été écrit par Dr. W.H. Williams pour un dîner d'un cercle d'étudiants la veille du départ du physicien Eddington de l'université de Berkeley en 1924.
Ce poème taoiste montre qu'en essayant de marquer quelque chose on peut donner la fausse impression qu'une chose qui n'existe pas puisse avoir une existence concrète ou matérielle. C'est ce que découvre Starshine en questionnant le non-être.
"O dis-moi, quelle est cette chose appelée Lumière que je ne pourrai jamais apprécier". Dans ce petit poème, le poète lauréat Colley Cibber décrit les sentiments d'un garçon qui n'a jamais pu voir.
Edie et Evie sont de vrais jumeaux. Ils se ressemblent en apparence, mais leurs personnalités sont très différentes. Les choses deviennent très bizarres quand l'un d'eux fait semblant d'être l'autre...
"Tout au fond des bois", m'a dit ma mère, "c'est là que vit le Roi des Citrouilles." Un jeune garçon et son chat essaient de découvrir ce qui est vrai dans l'histoire de sa mère.
Danny Applewhite était en train de devenir un jeune homme plutôt arrogant. Il était l'un des cinq meilleurs élèves de son école, mais sera-t-il assez malin pour ne pas se faire avoir le premier avril?
Lisez ce que les jeunes de différents pays pensent du Royaume Uni? Comparez leurs opinions, travaillez avec le vocabulaire et dites-nous ce que vous pensez du Royaume Uni.
Je regardai ma montre et je me rendis compte qu'elle marchait à l'envers. "Ce n'est pas grave" me dis-je. "Si ma montre marche à l'envers, ça veut dire qu'il est encore tôt et que je ne suis pas du tout en retard pour le travail..." puis je me réveillai. Une fois de plus.
"O toi, l'arbre de banian à tête hirsute, qui se dresse sur le bord de l'étang, as-tu oublié le petit enfant, comme les oiseaux qui ont fait leur nid sur tes branches et t'ont abandonné?"
Dans ce poème, les mots ont été remplacés par des homophones - des mots qui se prononcent de la même manière, mais qui s'écrivent différemment. Cela montre que les correcteurs orthographiques pour ordinateurs ne sont pas infaillibles!